
Quelques explications d’abord sur la photo et la citation utilisées pour accompagner cette publication. Sur la photo, on voit Ernest Worthman, membre senior de l’Institute of Electrical and Electronics Engineers. Selon Wikipedia, cet Institut des ingénieurs électriciens et électroniciens « joue un rôle très important dans l'établissement de normes ». Selon cet article du magazine La maison du 21e siècle, « Les recommandations de l’OMS sur lesquelles se basent la plupart des normes actuelles sont basées sur les recommandations de l’ICNIRP (International Commission on Non-Ionizing Radiation Protection) et de l’IEEE (Institut of Electrical and Electronic Engineers), organismes qui entretiennent des liens étroits avec l’industrie. Ces recommandations ne prennent en considération que les effets thermiques (phénomène d’échauffement) sans tenir compte des effets biologiques survenant à des niveaux d’exposition beaucoup plus faibles que ceux auxquels surviennent les effets thermiques. » Comme l’OMS, la plupart des pays se réfèrent notamment à l’IEEE dans l’établissement de leur normes d’exposition aux rayonnements radiofréquences, malgré le fait que cet organisme, tout comme l’ICNIRP, n’a aucune expertise médicale pertinente.
Alors le fait qu’un membre senior de l’IEEE fasse une telle déclaration mérite d’être souligné. La citation utilisée - et traduite - provient d’un article du 29 mai dernier : 5G Starts New Conversation on RF Safety.
Dans cet article, Ernest Worthman rappelle les craintes maintes fois exprimées depuis l’avènement des télécommunications sans fil sur les risques qu’elles posent à la santé humaine, risques qu’il reconnaît sans ambages, mais qu’il considère contrôlables pourvu que l’on sache comme s’y prendre. Pour faire bonne mesure, il ridiculise au passage les nombreuses théories ayant récemment lié la COVID à la 5G. Mais là où ses propos deviennent fort intéressants, c’est quand il admet qu’avec la 5G, les méthodes et normes antérieures de l’industrie ne peuvent plus s’appliquer.
Il écrit : « Avec la 5G, les lignes ne sont pas aussi claires. Bien qu'il existe des preuves substantielles que la distribution des éléments rayonnants est sans danger lorsque les règles sont respectées, la densification avec les ondes millimétriques comporte une part d’imprévisibilité. »
Voici la traduction de la fin de son article, d’où provient la citation utilisée…
« De plus, les voitures autonomes, la réalité augmentée (AR), les maisons intelligentes et d'autres technologies se tourneront généralement vers les fréquences millimétriques pour des fonctionnalités améliorées. Leur volume sera couplé à une exposition à des fréquences plus élevées et à des caractéristiques de propagation plus limitées. Il est donc très probable que nous serons bombardés par ces ondes, beaucoup plus régulièrement que nous ne le sommes actuellement. Et c'est là que réside le problème : l'exposition au fil du temps.
Bien que nous comprenions très bien cela avec les environnements actuels, nous avons peu d'expérience avec les paramètres complexes où des situations denses et multiples des fréquences millimétriques existeront en utilisant de nouveaux schémas de transmission. Même si cela se révèle conforme aux prévisions, potentiellement, à elle seule la quantité de temps durant lequel nous y serons exposés devient une préoccupation.
Il existe des preuves scientifiques fiables à cet égard. Par exemple, en 2018, le National Toxicology Program du ministère américain de la Santé et des services sociaux a conclu une étude d'une durée de 10 ans sur les effets du rayonnement des téléphones portables (2G et 3G, téléphones à 900 MHz, sous le seuil des fréquences millimétriques) sur des rats de laboratoire. Il y avait des preuves convaincantes que ces fréquences provoquaient des schwannomes malins dans le cœur, et certaines preuves qu'elles provoquaient des gliomes malins dans le cerveau. Le niveau d'exposition était quatre fois supérieur à celui des environnements typiques. Cependant, dans les déploiements ultra-denses à venir, il est tout à fait possible que les environnements en 5G millimétriques atteignent de tels niveaux.
Le fait est que, sans aucun doute, les ondes RF ont la capacité de modifier les cellules vivantes et l'ADN. La plupart des études utilisent des niveaux bien au-delà de ce que nous connaissons généralement avec les systèmes existants. Mais, avec la 5G millimétrique, cela va changer. Il est hautement probable que nous serons constamment bombardés de tels rayonnements et nous n'avons pas une bonne compréhension de ces types d'environnements sur les humains et les animaux.
Le moment est venu de cesser de se cacher derrière les anciennes données (les règles de la FCC à ce sujet n'ont pas changé depuis 1996) et de dire qu'elles sont valables pour les fréquences millimétriques – ce n'est pas le cas. Il ne fait aucun doute que nous déploierons en masse des radiateurs 5G. Nous devons avoir une compréhension claire de ce que cela fera aux humains et aux autres êtres vivants. »
Si l’industrie des télécommunications et les gouvernements veulent savoir quels seront les impacts sur la santé des hyperfréquences millimétriques de la 5G, il leur suffit de reconnaître l’existence et la validité des études ayant été menées il y a plus de 50 ans sur ces fréquences.
Ce qui suit est extrait de la page 57 d’un document de la CIA déclassifié en mai 2012 et intitulé “Translations of USSR Science and Technology Biomedical Sciences - Effects of Non-ionizing Electromagnetic Radiation” publié le 3 août 1977 – chaque page portant la mention “For Government Use Only”. C’est grâce à une demande formulée en vertu de la Loi sur l’accès à l’information aux États-Unis (Freedom of Information Act - FOIA) que ces renseignements tenus secrets jusqu’en 2012 ont été rendus publiques.
On peut consulter ce document ICI sur le site de la CIA. S’il advenait qu’il disparaisse, une copie de sauvegarde a été archivée ICI.
Parmi les sujets abordés, l’un d’eux a une grande pertinence en lien avec le déploiement prévu dans les années au Canada de réseaux de télécommunications utilisant les fréquences millimétriques — celles dont la fréquence d’oscillation par seconde est plus élevée que 24 milliards de hertz (24 GHz). ce rapport d’étude s’intitule Biological Effect of Millimeter Radiowaves (Effets biologiques des ondes radio millimétriques).
Cette partie (de la page 57 à la page 61) de ce long document est archivée indépendamment du reste ICI sur le site de Physicians for Safe Technology. Voici l’objectif de cet organisme tel que défini ICI sur leur site :
[traduction] « Nous sommes un groupe de médecins et de professionnels de la santé dont la mission est de fournir un leadership de confiance dans la promotion d'environnements sains et sans danger grâce à une utilisation plus sûre de la technologie à la maison, dans les écoles, sur les lieux de travail, dans les milieux de soins de santé et dans les communautés. Notre objectif est de prévenir les maladies aiguës et chroniques en encourageant la compréhension du lien entre les effets sur la santé publique, psychosociale et environnementale de l'utilisation des technologies modernes. Ce site contribuera à faire progresser et à traduire la science multidisciplinaire concernant les impacts sur la santé et l'environnement des technologies sans fil et numériques et fournira des recommandations aux professionnels de la santé, aux décideurs et au public. »
Manifestement, si ces professionnels de la santé ont jugé nécessaire de faire connaître les résultats de cette recherche réalisée en Union Soviétique, c’est que les conclusions de cette étude revêtent une importance toute particulière près de 50 ans après sa réalisation, alors que l’industrie de télécommunications a commencé à déployer dans plusieurs pays des antennes émettant dans la bande de fréquences des ondes millimétriques, sans avoir JAMAIS fait réaliser la moindre étude afin de VÉRIFIER D’ABORD quels impacts sur la santé humaine et l’environment ce type d’hyperfréquences pouvait avoir.
À noter que cette étude est archivée ICI sur le site de Physicians for Safe Technology avec de nombreux autres rapports militaires et gouvernementaux — plus de 24 ! On peut y lire l’introduction suivante :
[traduction] « Alors que de la littérature scientifique plus récente sur les effets biologiques et physiologiques des rayonnements micro-ondes est disponible en ligne, il existe une mine d'informations anciennes et très précieuses provenant des organisations gouvernementales sur la recherche et les effets sur la santé des rayonnements radiofréquences. Il s'agit notamment de l'Organisation mondiale de la santé, du Naval Military Institute et de la NASA. Ces rapports ayant été rédigés avant les années 1970 ajoutent des milliers d'études à cette base de données scientifiques. Ces rapports sont des recueils longs mais approfondis qui indiquent que les dommages causés par ce type de rayonnement non ionisant sont connus depuis de nombreuses décennies. »
EN CLAIR, LES GOUVERNEMENTS ONT LA PREUVE DEPUIS DES DÉCENNIES QUE LES RADIOFRÉQUENCES DES TÉLÉCOMMUNICATIONS SANS FIL SONT EXTRÊMEMENT NOCIVES POUR LA SANTÉ HUMAINE.
Ce que révèle cette étude soviétique (extraits traduits plus bas) datant de près d’un demi-siècle devrait donner des sueurs froides à n’importe quel être doué de la raison et ne se laissant pas amadouer ni distraire par les promesses fallacieuses que les publicités tapageuses de cette industrie profondément délinquante font miroiter pour détourner l’attention du crime génocidaire — rien de moins! — qu’elle est en train de commettre, avec la complicité de tous les gouvernements qui, décidément, n’ont pas à cœur, semble-t-il, les meilleurs intérêts et la santé des populations qu’ils gouvernent. Jugez-en par vous-même…
NDT : Tel qu’indiqué dans l’introduction du rapport, des rats et des souris ont été exposés durant 15 minutes chaque jour pendant 60 jours à des fréquences variant de 5 à 8 millimètres avec une densité de 1 milliwatt/centimètre carré. Selon le tableau de conversion ICI cela équivaut à 10 millions de microwatts par mètre carré, ce qui est le maximum théorique permis par le Code de sécurité 6 canadien pour les fréquences du Wi-Fi. À noter que les valeurs de référence pour les seuils maximums autorisés utilisées sur le site de Santé Canada ICI relativement aux fréquences millimétriques de 6 GHz à 300 GHz — comme 193/f 0,5 — sont parfaitement incompréhensibles, tout comme le jargon scientifique utilisé, de sorte qu’il est impossible pour quiconque n’a pas un doctorat en physique de savoir quelles sont les limites maximales en terme de microwatts par mètre carré (utilisé sur nos appareils de mesure) - limites qui de toute manière ne sont que de simples recommandations en dehors des établissements fédéraux, et qui ne font l’objet d’aucune surveillance indépendante de l’industrie, qui peut donc outrepasser allègrement les directives du Code de sécurité 6 sans que jamais personne ne le sache.
Les termes scientifiques utilisés ci-après et les effets décrits peuvent être également difficiles à comprendre quand on n’a pas le bénéfice d’avoir eu une formation scientifique, mais ils ne laissent place à aucun doute quant à la réalité des effets biologiques majeurs des rayonnements d’hyperfréquences millimétriques.
[traduction] « Les études morphologiques, fonctionnelles et biochimiques menées chez les humains et les animaux révèlent que les ondes millimétriques provoquent des changements dans le corps se manifestant par des altérations structurelles dans la peau et les organes internes, des changements qualitatifs et quantitatifs dans le sang et la composition de la moelle osseuse, ainsi que des changements dans les activités réflexes conditionnées, la respiration des tissus, l’activité des enzymes participants aux processus de la respiration tissulaire et du métabolisme nucléique. Le degré des effets défavorables des ondes millimétriques dépend de la durée du rayonnement et des caractéristiques individuelles de l’organisme. »
… « L'étude des indicateurs morphologiques, fonctionnels et biochimiques, qui jouent un rôle essentiel dans la formation des réactions de l'organisme, a révélé divers troubles chez les animaux de laboratoire.
Comme on le sait, l'énergie des ondes millimétriques, en raison de sa faible capacité de pénétration, est absorbée principalement par la peau. Nos recherches ont montré que dans la peau des animaux irradiés, une déformation de l'appareil récepteur et des changements bien exprimés de caractère réactif ont été observés. Dans la couche cutanée proprement dite sont apparues des grappes de fibres nerveuses avec hypertrophie d'une partie de la fibre et des sections avec démyélinisation. Dans le derme, parmi les fibres de collagène, il y avait de petits troncs de différentes épaisseurs, dont les conducteurs neuronaux étaient fragmentés dans certains cas, et des phénomènes de démyélinisation ont été observés dans les couches superficielles.
Comme les résultats de l'analyse histomorphologique l'ont montré, dans les structures fonctionnellement actives des tissus du myocarde, du foie, des reins et de la rate, des troubles de l'hémodynamique ont été constatés, avec perturbation de la perméabilité des membranes vésiculaires, apparition de micronécroses et dystrophie tissulaire ultérieure. De plus, des changements qualitatifs et quantitatifs ont été révélés dans la composition érythrocytaire et leucocytaire du sang des animaux irradiés, indiquant une suppression de la fonction hémopoïétique de la moelle osseuse et du système symphatique. On a noté dans la composition du sang rouge de l'éosinophilie, de la neutrophilie et de la lymphopénie. De plus, une baisse du taux d'hémoglobine et une réduction du nombre d'érythrocytes ont été observées, ce qui a été déterminé dans une large mesure par la rétention d'érythrocytes dans la moelle osseuse. Dans cette dernière, il s'est produit une augmentation du nombre de cellules érythroblastiques et une diminution des cellules de la série leukoblastique.
Sous l'effet des ondes millimétriques de faible intensité, le degré d'affection dépend de l'état général de l'organisme et n'est évidemment pas si grand, car les troubles observés sont dans l'ensemble réversibles.
Une caractéristique des effets biologiques des ondes radio était des changements d'état des différentes sections des systèmes nerveux central et végétatif qui entraînaient directement ou indirectement des troubles des fonctions principales des organismes (M. I. Yakovlev, 1973).
… La recherche menée sur l'influence des ondes millimétriques sur l'état des échanges nucléiques a montré que dans le foie, la rate, les reins, les poumons et le cœur, il y avait une réduction de la teneur en acides nucléiques et une suppression du taux de 14c-thymidine dans l'ADN et de 14c-uridine dans l'ARN.
… Les données présentées mettent en lumière les changements substantiels du métabolisme des protéines qui se produisent sous l'influence d'irradiations multiples d'animaux par des ondes radio millimétriques. De toute évidence, la réduction du niveau d'énergie général se produisant dans l'organisme sous l'influence des ondes radioélectriques millimétriques a eu un effet sur la formation de macroerges et a provoqué une suppression de toutes les fonctions de l'organisme, y compris la suppression des processus synthétiques mais surtout du métabolisme des nucléoprotéines, qui est très énergivore.
Les investigations expérimentales menées ont été comparées aux observations de l'état de santé de 97 personnes travaillant dans des générateurs de l'ordre du millimètre sur la base d'une conduite systématique d'analyses biochimiques. Les données obtenues ont confirmé l'existence d'une influence des ondes radio sur l'état des processus métaboliques dans l'organisme, en particulier, des changements des indicateurs du métabolisme des protéines et des glucides ont été révélés et des perturbations des indicateurs de réactivité immuno-biologique et du sang ont été établi.
Ainsi, les investigations menées indiquent une activité biologique élevée et une influence défavorable des réactions biologiques accrue, avec une augmentation de la période d'irradiation, et dépend des caractéristiques individuelles de l'organisme. »
Tout ceci est fort inquiétant vous en conviendrez. Mais ce n'est pas tout!
Un autre membre de l'IEEE, Haider Abbas, a écrit un article sur les effets sur la santé des CEM et soulève des préoccupations particulières concernant les ondes millimétriques utilisées par la 5G. Cet article a été supprimé d'Internet peu de temps après sa parution. Heureusement, il a été conservé. L'auteur semble tout à fait légitime et très respecté. Il a été élu au grade de membre senior de l'Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE), USA. Il a été nommé membre du Conseil des gouverneurs du Conseil national des technologies de l'information (NITB), dirigé par le président du Pakistan.
Voici la traduction de la fin de son article, dont le contenu est étonnant quand on sait qu'il vient d'un membre senior d'une organisation qui n'est pas particulièrement réputée pour sa préoccupation pour les impacts sanitaires des technologies sans fil...
5G and Its Effects on Human Health
(...) Nommé pour la longueur d'onde beaucoup plus courte des ondes radio, les ondes millimétriques ne mesurent que de 1 mm à 10 mm. En raison de leurs longueurs d'onde plus courtes, les ondes millimétriques ont une fréquence plus élevée, ce qui implique qu'elles peuvent transmettre plus d'énergie.
En ce qui concerne l'effet sur le corps humain, les ondes millimétriques seraient plus susceptibles d'être absorbées de quelques millimètres dans la peau. Puisqu'il n'y a eu aucune application grand public des ondes millimétriques, il existe peu de données scientifiques sur son impact sur la santé humaine. Cependant, des données limitées sur les ondes millimétriques ont montré qu'elles peuvent affecter le système nerveux périphérique, le système immunitaire et le système cardiovasculaire, même avec une exposition de courte durée.
Effets de la technologie 5G sur la santé humaine
Cancer et tumeurs
Des études ont démontré que les téléphones portables, le Wi-Fi et d'autres technologies sans fil peuvent provoquer le cancer et des tumeurs. Les résultats sont les mêmes pour la technologie 5G sans fil. En fait, elle est plus dangereuse car elle utilise des ondes millimétriques avec des fréquences plus élevées.
Électrohypersensibilité (EHS)
L'électrohypersensibilité peut être définie comme un syndrome appelé intolérance environnementale idiopathique, ou également connue sous le nom de symptômes médicalement inexplicables qui provoquent chez certaines personnes des symptômes de fatigue, de maux de tête sévères, de faiblesse, de troubles du sommeil, de troubles de la mémoire ou une sensation générale de maladie. Certaines personnes ont tendance à développer l'EHS lorsqu'elles sont exposées à des ondes haute-fréquence. Ainsi, les préoccupations sont que la technologie 5G pourrait provoquer l'électrohypersensibilité, car les recherches ont montré qu'elle était causée par l'utilisation de téléphones cellulaires ordinaires.
Enfants et absorption radiologique
Des recherches ont montré que les enfants sont plus enclins à absorber les micro-rayonnements parce que leur tissu cérébral serait plus absorbant; leur cerveau est relativement plus petit que celui des adultes et leur crâne est plus mince. Des années pourraient s'écouler avant que l'on en découvre les véritables conséquences sur la santé des enfants, mais il existe également de nombreuses autres raisons pour lesquelles les enfants sont plus à risque. L'une des raisons est que leur corps et leur cerveau sont immatures et encore en phase de développement.
Ainsi, en ce qui concerne les impacts de la technologie 5G sur les enfants, la principale cause de préoccupation est une exposition accrue. Comme en présence de la technologie 5G, il est fort possible que les enfants soient exposés aux rayonnements RF tout le temps, à la maison, à l'école ou même dans les parcs et les rues.
La peau amplifie les risques pour la santé humaine
L'un des risques pour la santé de la technologie 5G est la réaction des rayonnements RF avec le corps humain. Lorsque les canaux sudoripares humains ont été exposés à des ondes millimétriques, des études ont montré qu'ils agissent comme un réseau de petites antennes en forme d'hélice. Cela suggère que ces ondes millimétriques sont non seulement absorbées par la peau humaine, mais sont en fait amplifiées par la peau humaine.
5G, dommages à l'ADN et avenir du génome humain
Une autre préoccupation importante concernant l'effet de la technologie 5G sur la santé humaine est son effet sur l'ADN. En présence de la technologie 5G, les risques de dommages à l'ADN sont plus importants. Des dommages à l'ADN pourraient avoir de graves conséquences sur l'avenir du génome humain. Selon des études, la rupture des brins d'ADN dans les cellules vivantes peut être causée par une exposition aux rayonnements RF pulsés et continus. Les informations stockées dans ces cellules d'ADN sont corrompues.
(fin de l'extrait traduit)
Ces deux extraits d'articles publiés par des membres seniors de l'IEEE sont remarquables quand on sait que cet organisme soutient depuis toujours la thèse du déni des impacts sanitaires des radiofréquences. Pour le vérifier, il suffit de lire...
IEEE Committee on Man and Radiation (COMAR)
Extrait traduit : « Bien que nous reconnaissions les lacunes dans la littérature scientifique, en particulier pour les expositions à des fréquences d'ondes millimétriques, [nous estimons] que la probabilité de dangers pour la santé encore inconnus à des niveaux d'exposition dans les limites actuelles soit très faible, voire inexistante », selon la déclaration du Comité sur l'homme et le rayonnement (COMAR) de l'Institut des ingénieurs électriciens et électroniciens (IEEE).
Voir aussi...
QUAND 2 MEMBRES SENIORS DE L'IEEE ADMETTENT LES DANGERS DE LA 5G, TOUT LE MONDE DEVRAIT ÉCOUTER