top of page

L'heure de vérité approche pour les responsables d'un crime abominable



To read the English version, please go at https://www.blushield-us.com/another-deadly-brain-cancer-lawsuit-filed-against-cell-phone-companies/


Voici la traduction de l’article au lien ci-dessus.

Une autre procès pour un cancer du cerveau mortel intenté contre les compagnies de téléphonie cellulaire

Le 23 juin 2021 – par Brandon Amalani


Vous avez peut-être déjà entendu parler du lien entre les téléphones portables et les tumeurs cérébrales, car plusieurs de nos articles précédents ont couvert ce sujet sous différents angles. Il a été démontré dans des centaines d'études que les rayonnements des téléphones portables augmentent la probabilité qu'une personne développe plusieurs types de cancer, y compris les glioblastomes, qui sont un type agressif et mortel de tumeur cérébrale. L'ensemble des données scientifiques le démontrant augmente chaque année, et bien que les organismes gouvernementaux de réglementation et les entreprises de téléphonie mobile semblent plus que jamais déterminés à dissimuler cela, cette vérité a de toute façon fait son chemin dans la conscience publique.

Saviez-vous qu'il y a actuellement plus de 70 procès en cours contre les entreprises de téléphonie cellulaire intentées par des personnes atteintes d'un cancer du cerveau dû aux rayonnements des téléphones cellulaires ? Certaines de ces poursuites sont en instance devant les tribunaux étatiques et fédéraux avec très peu de progrès depuis plus de 20 ans ! Les défendeurs dans ces affaires, qui comprennent la plupart des développeurs de téléphones portables et des fournisseurs de services, ainsi que des organismes de réglementation comme la FCC (Federal Communications Commission) et la CTIA (Cellular Telecommunications Industry Association), ont profité de certaines failles contraires à l'éthique dans le loi pour empêcher ces affaires de progresser jusqu'à l'audition des preuves et aux procès avec jury aussi longtemps que possible, ce qui les incriminerait sans aucun doute.

Ils ne font que retarder l'inévitable. La vérité est en train de se répandre, et ne restera pas éternellement cachée à la conscience grand public !


Un cas mortel de cancer du cerveau en Louisiane pourrait changer la donne

Une nouvelle affaire vient d'être déposée en avril 2021, pour la mort injustifiée d'un pasteur de Louisiane de 49 ans, qui a utilisé des téléphones portables pendant 25 ans. Il a développé un glioblastome agressif, ce qui fait référence à un cancer de stade 4 des cellules gliales du cerveau, au début de 2019. Après de nombreuses chirurgies et thérapies, la perte de sa capacité à vivre avec un semblant de normalité à la grande dévastation de cet homme, de sa femme et de ses deux fils, il est décédé à la fin de 2020.


Son nom était Frank Aaron Walker, et cette affaire est connue sous le nom de Walker contre Motorola, bien que les défendeurs comprennent un total de 9 entreprises et organismes de réglementation distincts mais interconnectés qui étaient tous complices de la fraude et de la tromperie alléguées dans cette affaire.

Sa femme et ses fils, qui sont les plaignants dans cette affaire, allèguent que la façon dont Frank Allen Walker a utilisé les téléphones portables pendant 25 ans a été présentée comme sans danger, normale et totalement inoffensive, et s'il en avait connu les dangers, il aurait utilisé les téléphones portables de manière plus sécuritaire ou pas du tout. Dans ce cas, les preuves présentées prouvent que ces entreprises sont au courant depuis des décennies des torts causés par les rayonnements des téléphones portables et pourtant elles ont continuellement choisi de cacher ce fait aux utilisateurs de téléphones portables et au grand public.


La famille est représentée par Hunter Lundy de Lundy, Lundy, Soileau & South, LLP, l'un des principaux cabinets d'avocats en dommages corporels du pays, et par Robert F. Kennedy Jr., président et conseiller juridique en chef de Children's Health Defence (CHD ). Lundy et Kennedy sont également impliqués dans d'autres cas actifs sur les effets sur la santé des rayonnements sans fil.


Pour cette affaire, ils ont choisi de la déposer devant un tribunal fédéral de Louisiane. La plupart des 70 autres affaires actives qui piétinent actuellement ont été déposées devant un tribunal d'État à Washington, et comme les tribunaux fédéraux sont soumis à un processus différent de celui des tribunaux d'État, cette affaire pourrait se dérouler beaucoup plus rapidement que les autres, et potentiellement même aider à les faire avancer ! Pour en savoir plus sur son fonctionnement et les aspects juridiques complexes des procédures judiciaires en général et de ces affaires en particulier, écoutez à https://bit.ly/3h1wUhb une entrevue avec Hunter Lundy par Dafna Tachover de Children's Health Defence.

L'objectif principal qui aidera probablement toutes ces affaires à débloquer est d'obtenir une solide audience de preuve, où des scientifiques experts peuvent expliquer au tribunal le vaste corpus scientifique, des études les plus anciennes aux plus récentes, prouvant que le rayonnement des téléphones portables est nocif et peut provoquer des tumeurs cérébrales. Il y a un nombre impressionnant de scientifiques respectables du monde entier qui sont prêts à le faire, dès qu'une audience de preuve pourra être organisée pour ces cas. Si un jury est autorisé à entendre cela, il n'y aura aucun moyen pour ces entreprises de continuer à tromper le public, et la vérité éclatera au grand jour.


L'histoire montre qu'avec les produits toxiques, le public a été trompé pendant des décennies par les entreprises et le gouvernement en pensant qu'ils étaient sans danger, comme les cigarettes et le glyphosate (le RoundUp de Monsanto), le vent a finalement tourné une fois qu'un ou plusieurs procès devant jury ont été autorisés. Les gens ordinaires avec du bon sens, lorsqu'ils entendent le déluge de preuves démontrant les préjudices causés, ne sont plus trompés par des slogans de marketing bien léchés, les tentatives frauduleuses de démythifier la science et par des tactiques pour discréditer des scientifiques respectables.


Les tactiques de dénigrement utilisées par les télécoms et le refus des gouvernements de reconnaître les torts causés par les technologies sans fil

La plupart des gens ne savent pas depuis combien de temps cela dure et jusqu'où va la corruption. Ce procès expose tout, et c'est choquant. Vous pouvez même lire à https://bit.ly/3xRyXLD la motion de 69 pages déposée dans cette affaire Walker contre Motorola, si vous voulez avoir toute l'histoire !

Elle présente en détails de nombreuses études scientifiques évaluées par des pairs, y compris des études financées par le gouvernement américain, qui montrent que les rayonnements des téléphones portables provoquent le cancer (ainsi que des dommages à l'ADN, qui est un précurseur du cancer). Les plaignants allèguent que l'industrie des télécommunications a déformé les preuves scientifiques, supprimé des preuves crédibles et comploté pour dissimuler ou modifier les résultats des études.


Dans plusieurs cas au cours des trois dernières décennies, des scientifiques crédibles ont été embauchés par l'industrie des télécommunications pour effectuer des études visant à « prouver » que l'utilisation du téléphone portable était sans danger. À chaque fois, leurs découvertes montraient le contraire, et dans tous les cas, lorsque l'industrie n'aimait pas les résultats que les scientifiques leur donnaient, ils se mettaient au travail pour s'assurer que l'étude ne soit jamais publiée, et si le scientifique refusait de se taire et disait vouloir rapporter les résultats de toute façon, l'industrie déployait alors beaucoup d'efforts pour détruire la réputation de ce scientifique.


L’étude de Henry Lai, PhD, réalisée en 1994, en est un exemple. Il a été embauché par la CTIA, Motorola et d'autres sociétés de télécommunications pour mener des recherches censées démontrer l’inocuité des téléphones portables. Cependant, les expériences qu'il a réalisées ont révélé des dommages à l'ADN dus à des rayonnements similaires à ceux utilisés par les téléphones portables. Ils ont fait tout ce qu'ils pouvaient pour empêcher la publication de ces études, et quand cela n'a pas fonctionné, ils ont tout fait pour discréditer la réputation scientifique du Dr Lai. À ce jour, les études financées par l'industrie d'Henry Lai (voir à https://bit.ly/2UCy9vV) sont parmi les meilleures et les plus incriminantes, d'autant plus que les résultats inverses étaient attendus par ceux qui ont initialement financé les études !

Après que les découvertes de Lai aient déçu l'industrie, ils ont embauché d'autres chercheurs pour tenter de réfuter ces résultats défavorables. Encore une fois, des recherches ultérieures ont confirmé les conclusions de Lai, et ils ont également refusé de les publier.

La recherche scientifique prouvant les torts causés par les technologie sans fil se poursuit toujours à un rythme soutenu, et certains des résultats les plus importants à ce jour ne sont sortis que ces dernières années, alors que ces affaires étaient devant les tribunaux en attente d'une action. En 2011, le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer) a examiné l'ensemble de la recherche sur les rayonnements sans fil, puis a décidé de les classer comme possible agent cancérogène de classe 2B. À l'époque, ils ont déclaré que la seule raison pour laquelle il était considéré comme « possible » au lieu d'un « cancérogène probable » (classe 2A) était le manque d'études sur les animaux. À leur avis, chaque angle de recherche, y compris des études épidémiologiques humaines approfondies, avait indiqué que les rayonnements sans fil causaient le cancer, et tout ce dont ils avaient besoin était plus d'études sur les animaux pour porter un jugement plus sûr.


Depuis lors, deux études animales des plus approfondies et des plus complètes ont été publiées. La plus connue est l'étude du NTP (Programme national de toxicologie), qui était une étude à long terme (10 ans) et très coûteuse (30 millions de dollars de l'argent des contribuables) commandée par le gouvernement américain. Tout comme les études mentionnées précédemment dans cet article, leur motivation déclarée pour cette étude était de « mettre fin » à l'idée que les téléphones portables causent le cancer et de prouver leur sécurité. Les résultats de l'étude ont montré le contraire, indiquant spécifiquement des dommages étendus à l'ADN chez les rats et les souris, ainsi que des gliomes du cerveau (ce que Frank Walker avait) et des schwannomes du cœur.

Après avoir été apparemment surpris et même alarmés par les résultats initiaux, les porte-parole de ces organisations gouvernementales ont fait un virage cent quatre-vingt degrés et ont décidé de ne pas annoncer les résultats publiquement, en plus d'une brève explication sur le site Web de la FDA minimisant l'importance de l'étude, déclarant que l'étude animale ne pouvait s'appliquer aux humains (voir à https://bit.ly/3jpxPuX). Cette déclaration effrontée et contradictoire a été faite après que le CIRC eut annoncé qu'il avait besoin d'études animales spécifiquement, pour prouver davantage les méfaits du sans fil. De plus, la conception et la mise en œuvre de cette étude ont été impeccables et réalisées avec la plus grande qualité et le plus grand soin pour garantir que cela s'appliquera aux humains. Vous pouvez en savoir plus sur l'étude du NTP sur les rayonnements sans fil dans notre article précédent sur le sujet à https://bit.ly/3qpLnIa.


Il y a quelques années, les résultats d'une autre grande étude à long terme menée à l'Institut Ramazzini en Italie ont été publiés qui reproduisaient les résultats de l'étude du NTP. Cette étude sur plus de 2 400 rongeurs a également trouvé que l'exposition aux rayonnements radiofréquences causaient des cancers du système nerveux central et périphérique (en particulier des gliomes et des schwannomes). Les scientifiques au courant des résultats des deux études recommandent fortement que le CIRC (Centre international de recherche sur le cancer) reclasse le rayonnement radiofréquence de cancérogène « possible » à cancérogène « probable » pour l'homme.

Nous avons toute la science dont nous avons besoin pour montrer avec une certitude absolue que les rayonnements sans fil sont nocifs pour les organismes vivants. Maintenant, nous avons juste besoin de la plate-forme pour diffuser les informations et tenir ces entreprises responsables, ce que permettront une audition de preuves et un procès avec jury appropriés pour ces affaires judiciaires !


Les télécoms ont des brevets pour un technologie rendant sécuritaires les téléphones portables, mais elles ne l’ont jamais mise en œuvre


La plus grande insulte dans tout cela est peut-être le fait peu connu que ces entreprises de téléphonie cellulaire ont déjà créé une technologie qui rendrait les téléphones cellulaires plus sûrs, mais cette technologie n'a jamais été mise en œuvre. Ils savent comment rendre les téléphones portables moins dangereux. Cela signifie qu’elles savent également que les rayonnements des téléphones portables sont intrinsèquement nocifs. Si ce n'était pas le cas, pourquoi auraient-elles fait des recherches sur de tels dispositifs de sécurité ? Il existe au moins 14 brevets américains bien réels pour ces dispositifs, déposés et reçus par les fabricants. Cependant, ils ont négligé d’appliquer ces améliorations dans la conception de leurs téléphones ! Il est facile de deviner que la raison en est que s’ils le faisaient, ce serait un aveu public des torts inhérents à leurs produits, dont ils insistent depuis des décennies pour prétendre qu'ils n'existent pas. Rendre les téléphones portables plus sûrs aujourd'hui reviendrait à admettre qu'ils mentent depuis 20 à 30 ans, ce qui les incriminerait automatiquement pour des milliers de cas potentiels de préjudices corporelles et de décès injustifiés. Ce serait un gâchis, et cela pourrait même les mettre en faillite. Au lieu de cela, ils continuent de promouvoir le fait que la façon dont les téléphones portables sont couramment utilisés est « totalement sans danger ». Rien à voir ici, circulez.

Presque tous ces brevets ont été déposés dans les années 90. Il y a donc très longtemps que ces entreprises sont conscientes des torts causés par leurs produits, ainsi que des solutions possibles, et pourtant elles n’ont rien faire encore ! Voici quelques exemples du texte de la motion déposée :


• Le 24 octobre 1991, Hitachi a reçu un brevet pour réduire l'exposition de l'utilisateur de téléphone portable aux rayonnements RF « afin d'éviter que la santé de l'utilisateur ne soit affectée ».

• Le 11 août 1992, Mitsubishi a déposé un brevet pour un téléphone sans fil conçu pour « réduire l'effet d'une onde électromagnétique sur la tête d'un corps humain » en enduisant le combiné d'un matériau de protection sur le côté le plus proche de la tête de l'utilisateur.

• Le 26 décembre 1995, Motorola a déposé une demande de brevet pour une antenne avec un blindage électromagnétique qui entraîne « peu ou pas de rayonnements dirigés vers le corps de l'utilisateur ».


• Le 9 avril 1996, un brevet délivré à Kevin et Norval Luxon pour un appareil de protection qui utilise des matériaux absorbant les rayonnements électromagnétiques "disposés autour de l'antenne et de l'appareil de transmission sans fil portable et entre l'utilisateur et l'antenne et l'appareil de transmission afin de protéger l'utilisateur des émissions potentiellement nocives de rayonnements de l'appareil de communication sans fil.


• Le 28 juillet 1998, Nokia a reçu un brevet pour une couche de blindage entre l'antenne et l'utilisateur afin de réduire l'irradiation électromagnétique de l'utilisateur. La demande soumise indique que l'antenne du téléphone portable est à « quelques centimètres du cerveau, des organes auditifs et de l'organe d'équilibre. Bien qu'un effet de chauffage direct puisse être toléré sans autre considération, il a été suggéré que le rayonnement RF modulé induit des changements dans l'état électrique, c'est-à-dire dans l'équilibre ionique des cellules nerveuses. Il était estimé qu’une exposition localisée continue à l'irradiation par radiofréquence affaiblit la gaine de myéline des cellules et peut éventuellement conduire à une altération de la capacité auditive, à des vertiges, etc. Il a été indiqué que l'irradiation par radiofréquence peut stimuler une croissance supplémentaire parmi les cellules de soutien dans le système nerveux, ce qui dans le pire des cas, pouvait entrainer le développement d'une tumeur maligne, par exemple, des gliomes se formant dans les cellules de soutien.


Il existe plusieurs autres exemples similaires à celui-ci. Ils connaissent depuis toujours les torts causés par leurs produits.

Qu’arrivera-t-il avec les procès concernant les tumeurs cérébrales causées par les téléphones portables?

Comme nous l'avons expliqué précédemment, bon nombre des procès actuellement en cours se déroulent devant la Cour supérieure du district de Columbia, qui est un tribunal d'État. Le premier a été déposé en 2001, et depuis lors, 12 des derniers cas ont été regroupés avec le premier aux fins d'une prochaine audience de preuve. Le premier cas est appelé, en bref, Murray contre Motorola, et donc les 13 cas consolidés sont maintenant regroupés sous ce nom. L'audience de preuve pour ce groupe d'affaires judiciaires est prévue pour juillet 2021. L'audience déterminera quels experts du demandeur sont considérés comme qualifiés pour témoigner au procès, en décidant si leurs opinions sont fondées sur des preuves scientifiquement fiables.

Jusqu'à la tenue de cette audience, aucune des 70 autres affaires portées devant les tribunaux d'État ne sera autorisée à se poursuivre. Cependant, l'affaire Walker contre Motorola qui a été déposée devant un tribunal fédéral de Louisiane en avril se déroulera séparément de ces autres affaires.


Un autre problème qui freine le procès Murray est qu'après qu'un document particulièrement puissant a été soumis en mars dernier par les plaignants, un avis d'expert de 176 pages par le Dr Christopher Portier (voir à https://bit.ly/3wV86yn), les défendeurs ont répondu en demandant qu'aucune preuve qui n'existait pas en 2013 ne devrait être autorisée. Leur raisonnement est alambiqué : c’est en 2013 qu’a eu lieu la première audience de preuve dans ces affaires, au cours de laquelle ils ont approuvé 5 des 8 experts du plaignant, mais le tribunal a ensuite modifié la norme à laquelle ils se conforment pour les opinions d'experts (de Frye à Daubert - voir https://semmes.com/law-updates/motorola-v-murray/), ce qui a fini par retarder l'avancement de ces dossiers de 7 années supplémentaires pour diverses raisons. Il est évident pour nous que la vraie raison pour laquelle ils ont fait cette demande est parce qu'ils ont peur de laisser le Dr Portier témoigner, et parce que certains des plus grands coups de boutoir scientifiques démolissant les allégations de sécurité de l'industrie du téléphone portable sont survenus depuis 2013 !

Christopher Portier était le directeur du National Center for Environmental Health au CDC, directeur associé de l'Institut national de la santé et des sciences de l'environnement et directeur associé du National Toxicology Program (NTP). Il est également conseiller scientifique pour l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et a été membre du groupe de travail du CIRC qui a classé le rayonnement sans fil comme un cancérogène possible du groupe 2B en 2011.


Ce sont des références pas mal importantes.


Le Dr Portier déclare dans la conclusion de son rapport : « À mon avis, l'exposition aux RF cause probablement des gliomes et des neuromes acoustiques et, compte tenu des preuves humaines et expérimentales, j'affirme, avec un degré raisonnable de certitude scientifique, que la probabilité que l'exposition aux RF cause des gliomes et des neuromes est élevée.


À présent, le tribunal dans le procès Murray doit décider s'il autorise le témoignage de Portier, ainsi que d'autres preuves ultérieures à 2013. Avec l'affaire Walker en Louisiane, cette preuve fait déjà partie du procès initial, et donc cette affaire n'est pas liée par cette même limitation. Par conséquent, il peut progresser beaucoup plus rapidement, ouvrant peut-être même la voie au déblocage de tous les autres cas devant les tribunaux.


En juin 2021 dans l'affaire Walker contre Motorola, les documents initiaux ont été signifiés aux accusés et ils attendent une réponse. Nous vous tiendrons au courant de l'évolution de cette affaire (et de toutes les autres) !

La vérité sortira au grand jour, c’est inévitable. C'est juste une question de temps!


Références:


Children’s Health Defense: “Family Sues Telecom Giants, Alleging They Hid Risks of Cell Phone Radiation That Caused Man’s Brain Cancer” – https://childrenshealthdefense.org/defender/lawsuit-telecom-giants-cell-phone-radiation-brain-cancer/


Children’s Health Defense: “WEBINAR: Cell Phone Brain Tumor Litigation — Legislation, Barriers and Opportunities” – https://childrenshealthdefense.org/defender/cell-phone-radiation-glioblastoma-brain-tumor-lawsuit


Case 2:21-cv-00923, “April Marie Walker, et al., v. Motorola Mobility, LLC, et al.” – https://childrenshealthdefense.org/wp-content/uploads/april_walker_complaint.pdf

 

Retour au menu de ce blog

203 vues
bottom of page